Are You Experienced ?

Metaflop

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Ne vous fiez pas au « flop » en fin de mot…

Bien que web designer, vous avez un vrai background typographique et vous trouverez, et bien… Disons, que tout ça c’est un peu galère. Quid d’une gestion un peu pointue des fontes que vous utilisez dans vos belles interfaces ? Voici Metaflop qui semble l’ébauche d’une future réponse puisque cet éditeur wysiwyg vous permet de « régler » et d’affiner un nombre limité de typographies (3 ou 4 familles proposées pour l'instant) puis de récupérer le code qui va bien. Intéressante approche que j’imagine bientôt intégrée chez nos amis de Google fonts et autres Typekits ! Nous devons à Alexis Reigel et à Marco Müller cette intéressante idée, soit l’alliance d’un développeur et d’un designer. Pour l’instant on n’a pas fait mieux. A tester.

Font Library

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Encore un truc qui peut servir !

Ayant une âme très pratico-pratique, voici une ressource qui pourrait également vous aider quotidiennement ! Depuis toujours, j’ai porté une attention toute particulière aux ressources gratuites pour les graphistes. Relayant ici-même, dès que je le pouvais, ce qui d’après ma grande expérience pourrait être pratique et utilisable au quotidien. Font Library fait partie de ces initiatives que j’essaie de soutenir. L’idée est simple : essayer de taguer et d’organiser les Google Fonts. Si vous travaillez dans le Web design, vous utilisez forcement ces fonts open sources. Elles sont d'ailleurs, le point de départ d’une micro-révolution typographique. L’annonce de la fin de droits sur un travail typographique qui appelait royalties et rémunération. Aujourd’hui plus qu’hier qui est prêt à payer pour une œuvre de l’esprit alors que Google a longueur de pages nous offre des contenus gratuits ? Oui, Google est la première source pour tout ce qui est téléchargement illégal… En plus de nous transformer en non-consommateurs prêts à ne jamais payer. Mais revenons au sujet du jour qui vous permettra de naviguer dans l’ensemble de ces fonts et de les classer par genre, époque, style... Etc. Pratique et précieux. Ces dites fontes portent toutes des noms qui ne donnent (souvent) aucune indication sur le style ou ses particularités. Car les Google Fonts, bien sûr et pour des questions de droit, ne sont souvent que des imitations de polices connues reconnues. Bref, Font Library est clair et simple dans son utilisation et vous permettra de retrouver vos petits sans trop galérer. A bookmarquer !

Je dessine trop bien les logos

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Seb Lester sait calligraphier à la main certains logos classiques. Une vraie prouesse artistique qui fera ronronner de plaisir les apprentis graphistes et soupirer les vétérans. Car, à quoi ça sert ? Sachant qu’il existe de très belles polices de caractères postscript, voir de très bons fichiers eps à télécharger depuis des sites comme lalogotheque.com. Bref, ici, on est dans le domaine de la pure performance graphique. Combien d’essais avant d’arriver à cette apparente perfection ? Nul ne le sait. On s’assoit, on regarde et puis on oublie. C’est juste pour rigoler.

Font fort Château Fort Fort !

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De temps en temps, pris d’un coup de folie graphique, il m’arrive de parler en ces colonnes de possibles concurrents. D’un côté, un poil mégalo, peux arrivent à notre niveau et donc je ne crains pas grand chose, d’un autre, je suis souvent surpris par le talent de nos graphistes français. Car, il y a - je crois - une vraie patte en notre beau pays. Et cette « concurrence » démontre une qualité globale dont mon cher studio, i-breed, fait partie. Mais revenons au sujet de ce post… Je suis tombé, il y a peu sur le site d’un studio lyonnais appelé Château Fort Fort. Bon, déjà, le nom m’a bien plu et puis (et surtout) leur travail. Château Fort Fort, c’est l’union d’Annabelle Delaunay et Sébastien Noguera. Deux jeunes graphistes issus d’un BTS de communication visuelle.  Leur approche (repiquée sur leur site) résonne également et je me sent, bien sûr, en communauté d’esprit avec cette approche : « Être agitateur de manière raisonnée, mais surtout expérimenter…Nous partageons la conviction profonde qu'instaurer une relation élective entre l'image, le contexte, le processus et la stratégie est un fondement essentiel dans la pratique d'un bon design. En conséquence, nous proposons à nos clients un service personnalisé basé sur la compréhension et la confiance mutuelle, travaillant à innover à partir de la rationalité et dirigeant des conseils pour répondre aux besoins réels. »  Reste à parcourir leurs références dont certaines évoquent l’école Suisse, le Pop Art, parfois même le Surréalisme… Le tout sublimé par une approche unique. A leur place, je détesterai être ainsi comparé par un parfait inconnu. Mais voilà et pour résumer… J’aime beaucoup. Vous pouvez découvrir leur travail ici-même !  Beaucoup de talents et apparemment, les projets qui vont bien. Talents à suivre… Bien sûr, le visuel qui illustre ce post est signé Château Fort Fort !

Michael Bierut et le pouvoir primitif des logos !

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Michael Bierut est un des grands designers de notre temps. Il a été associé chez Vignelli et Associés puis chez Pentagram. Son travail est présent dans les collections permanentes du MoMA, au National Design Museum de New York, à la Librairie du Congrès à Washington… Etc. Si Michael n’a absolument le look du graphiste hipster, il n’en reste pas moins un esprit humble et brillant. La preuve cette petite interview en anglais produite par Design Indaba, un projet de développement via la créativité et surtout un festival qui a lieu en Afrique du Sud, chaque année depuis 1995 ! Beaucoup d’intelligence. On s ‘assoit et on écoute !

Combien qu’on gagne ?

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Petite re-publication d'un post d'exception...

Direct, je met les pieds dans le plat : combien gagne-t-on dans la Com ? Beaucoup trop pour certains, pas assez pour d’autres. Ça dépend, dirait le graphiste normand qui sommeille en moi. Au final, Stratégies (le « Gala » de la pub) et le blog llllitl ont tenté, en octobre dernier, d’y répondre en publiant une grille des salaires en agence de com. Pour la consulter vous pouvez cliquer ici-même. Une confirmation quant aux métiers du digital qui sont finalement assez mal payés. Surtout si vous êtes développeur . Il faudra également préciser le terme « Creative technologist ». Une chose est sûre, je suis loin d’avoir un salaire de directeur de création  mais je suis mieux payé qu’un chef de projet débutant. A méditer !

 

Le cahier de dessin animé

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Le cahier de dessin animé est un nouveau concept mêlant activités artistiques et nouvelles technologies. Editée par les Editions Animées et wakatoon, elle permet aux enfants (et aux plus grands) de colorier puis de voir par le biais de la réalité augmentée son œuvre s’animer. Simple, beau et efficace, voici la promesse d’une nouvelle expérience magique et graphique. Une fois de plus, le coloriage est revenu au devant de la scène visuelle ( la preuve, les vœux d’i-breed ici-même sont constitués d’une série de coloriage pour adultes). Cet astucieux « dispositif » est peut-être le début d’autre chose…

Quand Massimo faisait des livres !

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Moitié suisse (dans l’âme), moitié graphiste (dans les tripes), l’approche de Massimo Vignelli m’a toujours fasciné. Fan de l’Helevetica, on lui doit entre autre, le plan du métro de New York ou le logo d'American Airline. Dans cette vidéo réalisée par Michael Bierut de chez Pantagram, Massimo nous détaille le process de création d’un livre. La vidéo vient illustrer son propos et c’est fascinant. On s’assoit et on prend sa claque…

 

L’art de la data viz’

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D’après l’agence parteja : « La datavisualisation est l’étude, la science ou l’art de représenter des données de façon visuelle. Cela peut se concrétiser par des graphiques, des camemberts, des diagrammes, des cartographies, des chronologies, des infographies ou même des créations graphiques inédites ou des photos. La présentation sous une forme illustrée rend les données plus lisibles et compréhensibles. » Derrière la simple représentation, les enjeux sont énormes : mettre en perspective et surtout donner un ordre de grandeur et donc « ramener au réel » des données qu’il est bien pratique de laisser dans un flou artistique plus que salvateur. Partager le savoir est une arme redoutable et le fondement de toutes les révolutions. Voici un petit film didactique réalisé par PBS qui devrait éclairer nos lanternes...

A propos du brief

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Il m’arrive parfois de parler (une heure au moins) du brief, ou devrai-je dire des « briefs ». Du brief d’agence au brief créatif. Le briefing est un des outils du designer lui permettant, à coup sûr, d'atteindre clairement et simplement les objectifs définis par son client. D’ailleurs « il n’existe pas de mauvaises campagnes de publicité, juste des mauvais briefs » dit-on dans notre belle profession. Il est donc tout naturel que ce film réalisé par Basset & Partners ait retenu mon attention. On y croise plein de gens calés (et connus dont Franck Gehry) qui le disent, eux aussi : Le brief est essentiel. On s’assoit et on écoute !

PIWIK versus Google Analytics

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Google a-t-il gagné la guerre du numérique ?

Y’a-t-il une vie après Google ? Peut-on échapper à l’emprise de ce géant du Web. Son moteur de recherche ressemble à la seule porte ouverte sur cet espace que ‘l’on désire tant : le Web. Un passage obligé, un passage secret, le Passage. Comme dans une quête. Au passage, justement, Google, vous écoute, vous repère, vous stocke et au fil du temps se fait une idée assez juste de qui vous êtes. Ce que vous êtes au sens marketing du thème : ce que j’aime, ce que j’achète, comment je m’informe… Etc. Et je soupçonne même Google de profiler nôtre côté sombre : quels sont mes sites pornographiques préférés ? quelle est la dernière fois que j’ai regardé, dans le secret de l’alcôve, une conférence de Soral ? un sketch de Dieudonné ou une interview de Marine Le Pen ? Sous couvert, de me rendre « compte ». N’est-il pas ? Pour l’instant Google, le garde pour soi. Prions pour qu’il en reste ainsi. Si Google contrôle la porte, il contrôle également le contenu que l’on va vous proposer. Est-il, au passage, le plus approprié ? Au plus proche de nos souhaits ? Pour ma part, je ne me pause pas la question, je clique. Et puis, Google contrôle aussi le contrôle. Celui que les webmasters font de leurs sites adorés via ze outil de référence : Google Analytics. A part le nom de l'internaute, vous pouvez tout savoir : de la taille de son slip à la couleur de ses yeux. Mais est-il vraiment « objectif » ? Les enjeux commerciaux étant gigantesques, on peut sérieusement en douter… Justement, dans le doute, on essaiera cette solution open source : PIWIK. Il faudra cependant l’installer sur son serveur et el code qui va bien sur le site / CMS de votre choix. IL est néanmoins gratuit peut s’enrichir via un market place… Il y a donc une vie après Google. On s’assoit et on regarde pour mieux comprendre !

Combien qu’on gagne en agence ?

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Enfin une réponse à cette question tabou !

Voilà une question récurrente et à laquelle il est souvent impossible de répondre. Simplement parce qu’en France, votre rémunération est un secret aussi bien gardé que les codes d’activation de la bombe atomique. Les codes que François Hollande porte en permanence autour du cou. Un post du blog LLLITL, « coproduit » par Stratégies nous éclaire un peu. Reste à savoir sur quelle base cette étude a été réalisée. Mais bon, on s’aperçoit que les salaires style PDG du CAC 40 ont disparu. On est dans des moyennes plutôt normales, voir parfois basses. L’écart en numérique et tradi. tendant à disparaître. On pourra consulter cet article ici-même. A méditer !

Ces fous qui veulent concurrencer Adobe Illustrator

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C’est beau cet espoir !

Il existe des gens assez fous pour penser qu’ils peuvent « changer » le monde du logiciel de dessin. Ou, au moins, amener leur pierre à l’édifice du design numérique. Comme si Adobe n’existait pas, n’avait pas, depuis moins d’une décennie, remporté le gros lot et imposé, version après version, une approche faite de calques, d’outils de sélection et autres autres « features » plus ou moins utiles. On  peut penser qu’Adobe et ses méthodes comme son approche graphique régissent le monde de la mise en forme de l’information. Et que, de ce fait, Adobe contrôle tout ou partie de l’information mise en forme. Je sais, je digresse, mais il y a forcement une part de vérité dans cette vision catastrophiste du design. Pour autant et pour avoir formé des palanquées d’infographistes, je sais qu’il est couramment admis que la parfaite maîtrise des logiciels est le pré-requis pour faire partie de notre monde merveilleux fait de dégradés et d’arc en ciel. Quid, tel le Art Chantry solitaire, de celui qui, dans un élan steam punk, refuse le virtuel et optera pour le cutter, la colle, le bleu inactinique et le bromure à peine sec ? Car enfin, à force de virtualité qu’en est-il du travail à l’ancienne, les mains pleines d’encre ? On verra, un jour, le retour du graphiste « traditionnel » rejetant cette approche faite de masques de fusion et autres objets dynamiques impalpables et intangibles. Il y a donc des éditeurs assez fous pour nous proposer un « Affinity designer ». Logiciel vectoriel, proposant, à première vue, certaines options novatrices et différentes de l’indétrônable grand frère : Adobe Illustrator. Logiciel Mac.com (donc logiciel Mac) le présente de cette façon : « Affinity Designer est un logiciel spécialement pensé pour les graphistes confirmés. Ce nouveau venu dans les programmes de création d’image est un outil très léger mais qui n’en reste pas moins complet et puissant. Grâce à lui, vous allez pouvoir faire de la création graphique ainsi que du dessin vectoriel avec les nombreuses fonctionnalités proposées. L’interface est personnalisable selon vos besoins puisque vous pouvez détacher les différentes fenêtres. » Apetissant, notamment lorsque l’on découvre certaines réalisations faites avec. Dont celle qui illustre ce post. On testera et n’hésitera pas à nous faire savoir quant à l’intérêt réel d’un tel outil. Même à presque 50 Euros le bousin. Affaire à suivre.

Paula Scher

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Je ne citerai que le génial portail Pixelcreation pour introduire cette magnifique vidéo réalisée par feu  Hillman Curtis : « Princesse du New York survolté et créatif qui fascine la planète entière, le travail de Paula Scher est un véritable délice pour les yeux avides dont nous sommes dotés. » Pour consulter l’article dans sa globalité c’est ici même – sinon, on s’assoit et on regarde !

Little Bits

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Little Bits est un concept modulaire de composants électroniques permettant de « construire » en les clippant les uns dans les autres. On est sur une forme de design objet plutôt ludique et créative. Vous n’y comprenez rien ? Regardez cette publicité pour le kit « espace » qui donne vraiment envie d’acheter. Intelligent et intellectuellement beau comme un camion.

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