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La grande poubelle de la pop culture a donné naissance à un grand nombre de sous-genres. Je veux dire – entre autre – de genres musicaux. Le métal, le black métal, le drône métal, le doom machin truc chouette… La liste est longue. Ces derniers genres musicaux, à leur façon, enflamment une jeunesse en quête de l’émotion originelle. Celle que l’on a tous ressenti, nous les seniors, en découvrant Elvis, beau comme un dieu, se déhancher sous les spotlights. Cette sensation a du se décliner au fil de siècles, générations après générations. En son temps donc, j’imagine que cette énergie primale fût ressentie par la jeunesse (dorée) lorsque Mozart s’asseyait devant son Piano. Aujourd’hui, on se pâme en entendant le batteur d’un groupe de métal attaquer à la double grosse caisse… Pour mettre dans l’ambiance, il existe tout un folklore visuel et graphique qui accompagne ces mouvements et c’est là que votre blog préféré dresse l’oreille. Si je puis dire. Ainsi parle-t-on beaucoup de Christophe Szpajdel le graphiste finnois au 7000 logos de groupes black métal. Allez-y de notre part, ça vaut le déplacement. En attendant voici une petite vidéo qui présente un florilège de cet art subtile (et gothique) que présuppose le style musical. Sang, magie, bois maudis, damnation éternelle sont quelques qualificatifs qui viennent à l’esprit. On s’assoit et on regarde.