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« Les seules personnes qui ont le lien entre Azyle et mon identité, c’est la justice, la police et quelques rares personnes. Avant d’être arrêté en 2007, j’ai taggé pendant 17 ans dans le métro. » Une fois de plus, aujourd’hui, nous allons parlé du graffeur parisien Azyle. Cet entretien permet de mieux cerner la personnalité de ce « loner » de la saturation et de la punition. Depuis, mis à la retraite pour le plus grand soulagement de la RATP. Ce qui est beau chez Azyle, c’est la parole (quant à son art, on peut en discuter). « Moi ma démarche est pas lucrative, c’est pas dans mon for intérieur de faire ça parce que ce qui donne la beauté au truc c’est le fait que ce soit gratuit. Elle se tient dans le métro et elle a pas de place ailleurs. » On s’assoit et on regarde !