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Je suis assez fan du graffeur au blase de malade : Azyle. Pas forcement, du résultat graphique un poil saturé et dégradant (pour le métro en dessous). Non, j’aime l’artiste solitaire à la double vie qui descend sous terre pour « punir » tel le justicier masqué protégeant Gotham City. Mon gars Azyle ne peut plus faire grand chose aujourd’hui. Serré par les keuffs, on l’a jugé et ses faits et gestes sont scrutés et monitorés. Il n’en reste pas moins une de mes légendes personnelles. On peut s’attaquer à la rue et avoir des choses à dire. Et c’est peut-être ses mots qui resteront. Alors, on s’assoit et on regarde. Ce type est une légende !
